[Hommage] Poème à Morgane (la caissière), par LaPlaie

Lorsque d’une démarche altière et assurée,
J’entre en ce lieu sacré qu’on appelle « Leclerc »,
Mes yeux, bien malgré moi, sont toujours attirés
Par ces êtres divins surnommés les « caissières ».

Mais de toutes ces fées de la grande surface
Qui ont pourtant chacune un charme indescriptible
Il en est une qui de beaucoup les dépasse
Tant chez elle beauté et grâce sont visibles.

Je veux parler de toi, ô suave Morgane,
Dont le gracieux prénom rappelle à ma mémoire
Le magicien Merlin et le tigre Chere Kan
Quoique là je crois bien m’être trompé d’histoire.

Et quand vient le moment fatidique et cruel
Où je dois, pour payer, choisir une caissière
Je me dirige alors toujours vers la plus belle :
Vers Morgane bien sûr, Déesse du Leclerc.

Ecrit en ETC, sur Parano.be, par LaPlaie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Calcul *Captcha loading…