De la baise

En avançant parmi les flegmes de ses congénères, l’homéopathe eu envie de soigner le mal du monde avec ses médecines douces. Il n’y consacra pas beaucoup d’énergie. Il téléphona juste à son agent pour lui dire : envoyez-leur du cul, beaucoup de culs, faites-les baiser, beaucoup de baise, et quand ils seront crevés, dites-leur qu’ils ne sont pas admis dans mon paradis, ha ! ils piqueront leur crise, se lanceront des bombes, et plus tard ça les fera sourire. Et vivre. Vous comprenez ?
Mais l’agent avait déjà raccroché. Tuuuut.

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