La dernière page du dernier roman que je n’ai pas fini et qui s’intitule [p] en l’honneur d’un site inaccessible au commun des mortels, date du 31 octobre 2006. Je me suis arrêté à la page 69 de [p]. C’est un roman qui parle de l’amour sous-terrain, de la possibilité d’une autre vie virtuelle, par le web, et de la découverte de soi, que le web, dans sa moche et immaculée infinité, peut offrir.
J’ai aussi pas fini un autre roman, "L’être virtuel", dont la dernière page (31) date du 9 août 2005! Ce roman parle d’un gars obèse, génie des techniques réseaux ne vivant que par écran interposé et dont l’existence ne possède comme unique éclairage celle d’être la source d’un changement radical dans la façon d’exister de l’humanité.
Voilà . Je tenais à le dire parce que je m’en suis rendu compte aujourd’hui. Et qu’aujourd’hui, en définitive pour toi qui lis, ne possède pas plus de sens que demain.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Calcul *Captcha loading…